Oui, la force marémotrice. Elle est connue de longue date. Après tout, il en faut de l'énergie pour mouvoir ces centaines de milliers de tonnes d'eau de quelques centimètres, donc pourquoi pas l'exploiter ? C'est de bonne guerre.Snike a écrit : ↑29 mars 2023, 13:37@fge je ne dis pas le contraire mais d'après les médias (je tiens à le préciser), la source d'énergie de base serait prise par des éoliennes marines déjà en prod qui serait elle-même alimentés par un système similaire avec celui des barrages mais en utilisant la force des courants sous-marin.
Cependant ...
En ce qui concerne l'exploitation de l'énergie marémotrice aujourd'hui, le champion toutes catégories est l'Écosse. Des centrales marémotrices existent bel et bien qui fournissent une bonne partie de l'électricité pour les îles Orkney.Info, intox ? Aucune idée
Mais il y a quand même un hic : ces îles sont peu peuplées, même pour des îles. Elles font figure de laboratoire pour les énergies dites "renouvelables" (une énergie purement "renouvelable" n'existe pas, soit dit en passant) mais les solutions à l'oeuvre là-bas ne peuvent pas fournir l'énergie nécessaire pour une ville telle que, par exemple, Le Havre.
Je m'élève contre ces arguments qui ne tiennent pas compte de plusieues facteurs :mais une chose est sûr[e], un futur entièrement électrique est de la plus grande aberration (à l'heure d'aujourd'hui) qu'il soit sachant, même si sur le papier, le moteur électrique est très écolo, la réalité en est tout autre si nous tenons compte de la pollution créée par la fabrication des batteries, besoin en matières premières pour ces dernières, recyclage des batteries, usure des pneus plus important puisqu'en comparaison entre un modèle thermique et électrique de puissance équivalente cette dernière est bien plus lourde et donc pollue plus avec l'usure des pneu.
1. On oublie toujours de comparer les ressources nécessaires à la fabrication d'un moteur à combustion interne par rapport à un moteur électrique, et je pense qu'il ne faut pas être grand clerc pour comprendre lequel consomme le moins de ressources ...
2. Les batteries, ça se recycle ; même si l'industrie est encore naissante, cela s'accélère. De plus, il faut bien savoir qu'outre le fait que l'on est déjà capable de ré-extraire plus de 90% du principe actif des batteries actuelles (le lithium), ledit lithium ne représente pour l'instant que 5% de la masse d'un pack de batteries.
3. Parler de l'usure des pneus est un peu vite oublier une source trop souvent oubliée d'émission de particules fines : les plaquettes de freins ! Un VE n'en émet qu'une infime fraction par rapport à une voiture traditionnelle (merci le freinage régénératif). En comparaison, l'usure des pneus est négligeable. J'en veux pour preuve que les deux VE à la maison (Tesla Model S 90D, 154000 km ; VW e-Gold, 59000 km) en sont toujours sur leur premier jeu de plaquettes de freins ...
Là, c'est un autre problème et un point sur lequel j'ai un avis bien tranché : on a loupé le virage des réacteurs nucléaires à sels fondus. Et plus encore. Mais là, c'est un autre sujet ...Un autre point qui me dérange (ça c'est m'on avis personnel) est que toute la clique de "Macroniste" sont presque tous actionnaire de total énergie.
On est loin d'avoir la capacité de produire ce dont on a besoin à l'heure actuelle alors pour en arriver à faire du 100%, je reste sceptique.
Je pense qu'il est encore trop tot pour savoir ce qui restera vraiment.